dimanche 28 mars 2021
2015 - Emmanuel Carrère, L' Adversaire
Par Véronique Hallereau le dimanche 28 mars 2021, 10:00
dimanche 28 mars 2021
Par Véronique Hallereau le dimanche 28 mars 2021, 10:00
lundi 22 janvier 2018
Par Véronique Hallereau le lundi 22 janvier 2018, 20:44
Je fus incapable de terminer certains romans en raison d’une trop grande violence des descriptions : ainsi American Psycho de Bret Easton Ellis et, exemple encore plus flagrant puisque je ne dépassai pas le premier chapitre, Crash de J.G. Ballard. Pourtant, je n’étais pas une oie blanche de la lecture, j’avais pu lire jusqu’au bout, peu de temps auparavant, Les 120 journées de Sodome. Comment cela avait-il été possible ?
lundi 8 janvier 2018
Par Véronique Hallereau le lundi 8 janvier 2018, 22:00
Acheté, lu aussitôt, non terminé.
Bret Easton Ellis, avec J.G. Ballard, fait partie de ces écrivains dont j’entendis parler pour la première fois auprès des camarades de la revue Immédiatement, dont je fis la connaissance à l’automne 1998. Plus au fait que moi de la littérature de l’époque, amateurs de genres que je ne fréquentais guère, ils me permirent d’élargir mes références. Cependant, les deux auteurs nommés ci-dessus ont ceci en commun que je fus incapable de terminer le roman que j’avais commencé à lire d’eux, tant le dégoût fut grand.
lundi 18 septembre 2017
Par Véronique Hallereau le lundi 18 septembre 2017, 17:06
Emprunté à la bibliothèque, lu aussitôt. Acheté en 2012 en livre de poche et relu.
De Charles Dantzig, j’avais déjà lu Le grand livre de Proust qu’il a dirigé, le genre d’ouvrage d’agrément qu’on aime lire confortablement installé dans le fauteuil avec à portée de main une tasse de thé et quelques biscuits. Aussi, quand je vis ce Dictionnaire égoïste de la littérature française à la bibliothèque du centre culturel français de Moscou, à propos duquel j’avais d’ailleurs lu des articles élogieux, je le pris avec gourmandise, me réjouissant de ce goût de France que grâce à lui j’allais retrouver chez moi.
mardi 2 mai 2017
Par Véronique Hallereau le mardi 2 mai 2017, 10:30
Acheté, lu peu de temps après.
vendredi 27 janvier 2017
Par Véronique Hallereau le vendredi 27 janvier 2017, 10:48
Acheté, lu aussitôt, relu en 2013.
mardi 3 janvier 2017
Par Véronique Hallereau le mardi 3 janvier 2017, 21:27
mardi 8 novembre 2016
Par Véronique Hallereau le mardi 8 novembre 2016, 11:02
Prêté par une collègue, lu aussitôt.
La collègue était attirée par les peuples du Grand Nord : Rytkhéou est tchouktche et les Tchouktches sont un peuple nomade de la Sibérie extrême-orientale. Toute personne vivant un peu en Russie se familiarise vite avec le nom de ce peuple objet de nombreuses blagues raillant leur simplicité d'esprit, le comble quand on sait que les Russes affectionnent les contes célébrant la bienheureuse idiotie, et qu'un de leurs plus fameux personnages est le prince Mychkine ou L'Idiot... Contrairement à mon habitude, je me laissai convaincre de lire un roman où l'on apprend des choses intéressantes, sur le peuple tchouktche.
mercredi 12 octobre 2016
Par Véronique Hallereau le mercredi 12 octobre 2016, 14:38
Emprunté à une amie, lu aussitôt.
L'occasion fait le lecteur : en vacances chez des amis, vous regardez la bibliothèque, et apercevez un livre qui suscite votre curiosité. Vous en avez entendu parler, vous en avez lu des critiques élogieuses ou assassines. Pour peu que vous ayez négligé d'emporter un livre ou que celui que vous avez vous ennuie, et que le livre de vos amis soit assez court pour être lu pendant le temps de ce séjour, vous demandez si vous pouvez le prendre. L'hôte vous l'accorde bien volontiers, et approuve en ajoutant : "Tu verras, c'est intéressant." Alerte !mardi 20 septembre 2016
Par Véronique Hallereau le mardi 20 septembre 2016, 10:20
Emprunté, lu aussitôt.
Metro 2033 est une exception dans mes lectures. Il est un des rares romans lus pouvant être qualifiés de page turner, que je n'ai d'ailleurs pas lu en été, pourtant leur saison favorite paraît-il. C'est également le seul ouvrage de science-fiction lu : je n'ai jamais ouvert de Jules Verne, et le seul titre qui s'en rapprocherait, Les chroniques martiennes de Ray Bradbury, lu en 2000, relève à mon sens davantage de la poésie. Le roman me fit surtout voyager dans mon propre passé russe.
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