Emprunté à la bibliothèque, lu aussitôt.
Comme j'ai une passion pour Soljénitsyne, un de mes oncles avait une passion pour Montherlant. C'est par lui qu'à l'adolescence j'entendis parler de l'écrivain, ce qui m'avait fait lire Les jeunes filles en 1989, et La Reine morte en 1990. Pour dire à quel point ces lectures m'avaient peu marquée, j'avais oublié jusqu'au souvenir d'avoir déjà lu La Reine morte lorsque je l'ai relue récemment, et aucun souvenir ne revint à cette pourtant seconde lecture.