Le maillage des lectures - Mot-clé - Zola - CommentairesAutobiographie de mes lectures.2022-03-07T20:19:23+01:00Véronique Hallereauurn:md5:6551cf8fc6b6706899240dddee7d97eaDotclear2015 - Eliette Abécassis, Un heureux événement - Véronique Hallereauurn:md5:492fae71387d97952fce272c7ae1c4cd2016-03-13T11:15:32+01:002016-03-13T11:15:32+01:00Véronique Hallereau<p>Je ne connais pas Chromosome 3... Mais on dirait bien que les films sur l'accouchement sont tous des films d'horreur ?</p>2015 - Eliette Abécassis, Un heureux événement - Ernesto PALSACAPAurn:md5:5600f542d39d68290b304394e069f1f02016-03-12T12:54:00+01:002016-03-12T12:54:00+01:00Ernesto PALSACAPA<p>Eh ben, ça ne donne pas envie de lire ce livre...</p>
<p>Sinon, comme grand film sur l'accouchement et la maternité, y'a Alien ou Chromosome 3, mais bon... il vaut mieux les voir après avoir accouché.</p>2015 - Eliette Abécassis, Un heureux événement - Véronique Hallereauurn:md5:d64b8c609b2e377e63ef990d577c87912016-03-11T18:48:57+01:002016-03-11T18:48:57+01:00Véronique Hallereau<p>On voit l'accouchement dans le film ? Je ne me souviens plus. En tout cas, c'est une géniale métaphore des peurs de toute femme enceinte de donner naissance à un enfant anormal. Je le reverrais volontiers maintenant que je suis rassurée ! </p>2015 - Eliette Abécassis, Un heureux événement - Pmjaurn:md5:03272581b4892c32c2c4ed8d4e3034562016-03-10T11:35:32+01:002016-03-10T11:35:32+01:00Pmja<p>Alors que la vision d'un bon film... comme Rosemary's Baby...!<br />
Pmja</p>2015 - Léon Tolstoï, Anna Karénine - Véronique Hallereauurn:md5:ef005e67dafc08ea6b7e18ab1e86f3412015-12-24T16:25:42+01:002015-12-24T16:25:42+01:00Véronique Hallereau<p>@ mapéridurale : merci ! (Et quel plaisir d'utiliser "primipare" je parie...)</p>2015 - Léon Tolstoï, Anna Karénine - Véronique Hallereauurn:md5:1feac0929290ead9b300fd934b5693152015-12-24T16:21:05+01:002015-12-24T16:27:19+01:00Véronique Hallereau<p>@ Ph. B. : Merci ! Et n'oublions pas que le récit des accouchements obéit à une logique dramatique. Les accouchements faciles, comme les familles heureuses, n'ont pas d'histoire !</p>
<p>Il est vrai que dans "Guerre et Paix", Napoléon et Alexandre sont caricaturaux, et Tolstoï ne nous épargne pas la longue démonstration de sa conception de l'histoire (qu'au demeurant je trouve intéressante). Il y avait en lui un moraliste féroce qui combattait parfois victorieusement l'artiste. La supériorité d' "Anna Karénine", je crois, est que tout au long du roman l'artiste est vainqueur. </p>2015 - Léon Tolstoï, Anna Karénine - mapériduraleurn:md5:7c4bc6226f5dc577f420f02d9b9b50e62015-12-24T09:59:58+01:002015-12-24T09:59:58+01:00mapéridurale<p>Bon courage à la primipare.</p>2015 - Léon Tolstoï, Anna Karénine - Ph. B.urn:md5:0e8a5955e4d712877f00acf652b60f8e2015-12-23T19:27:45+01:002015-12-23T19:27:45+01:00Ph. B.<p>Félicitations à la future accouchée ! ... et qu'elle se rassure, les accouchements aujourd'hui sont beaucoup moins terrifiants qu'au 19è siècle...<br />
J'ai lu Guerre et Paix... oui Tolstoï sait inventer des personnages de chair et de sang... le prince André... Natacha... mais quand il décrit des personnages historiques... son acharnement contre Napoléon est risible... ! Je précise que je ne suis pas du tout bonapartiste... quant au Tsar Alexandre en prince charmant... tout en blondeur... en bonté... en intelligence supérieure... comment dire...!<br />
La fin du roman m'a un peu dégoûté de Tolstoï... mais je vais essayer de lire Anna Karénine.</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Saint Chaffreurn:md5:a47cc03430a0ddc5c632af3af663917b2013-05-13T18:27:25+02:002013-05-13T18:41:37+02:00Saint Chaffre<p>Tout le contraire, sauf le souvenir également lumineux !</p>
<p>Zola, je l’ai dévoré à partir de la jeune quinzaine. J’ai commencé (je crois) par hasard par Thérèse Raquin et j’en tremble encore… Et puis à peu près tout (quoique, il est prolifique, le dreyfusard…) Evidemment, des souvenirs des passages forts de Nana, de l’Assommoir ou Germinal. Et puis, on se lasse ou plutôt on découvre d’autres auteurs, d’autres littératures et d’autres récits.</p>
<p>Assez vite, je tenais Zola pour un prolixe prosateur mais un peu léger et grandiloquent. Une lecture pour adolescent qu’il fallait savoir remiser pour d’autres plus coriaces et plus nourrissantes. Et aussi, les préoccupations et les marottes changent vite à ces âges : avec l’évolution de mes manuels scolaires, je trouvais Zola de plus en plus anodin et convenu : pas assez de philosophie là- dedans, pas assez d’érudition dans tout cela. Je ne le tenais donc plus en très grand respect quand vers la fin de mes études, j’ai ouvert, toujours par hasard, La faute de l'abbé Mouret.</p>
<p>Diable ! Je révisai vite mon jugement : bien que perclus de traditions catholiques jamais je n’ai reçu une telle leçon de catéchisme ! Au risque d’énerver les (bons) curés et les dames patronnesses qui nous ânonnaient une vie de Jésus sirupeuse, c’est Zola qui m’apprit les premiers rudiments de la religion de mon baptême et le respect de la religion ! J’en profitai également pour réviser mon jugement sur son art : un très bon dramaturge ! J’étais en Provence et mes études n’avaient plus rien de frais et d’enthousiasmant : il m’a ouvert ainsi une sorte de Paradou de l’esprit.</p>
<p>Je crois bien ne pas avoir fini le livre... sûrement pour porter le poids d’un péché envers lui…</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Véronique Hallereauurn:md5:df24e35af15e5d05e6e973b1200c11772013-05-11T16:07:00+02:002013-05-11T15:07:00+02:00Véronique Hallereau<p>J'essaierai à chaque fois de retrouver l'édition dans laquelle j'ai lu l'œuvre : ça fait partie du souvenir de la lecture. Il est des couvertures qui marquent.</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Ernesto PALSACAPAurn:md5:2c2ccf7932973602b0de8b897dac9e4f2013-05-06T17:11:41+02:002013-05-06T16:11:41+02:00Ernesto PALSACAPA<p>Commentaire bien superficiel de ma part : il est très plaisant de voir les couvertures des anciennes éditions en poche des bouquins dont tu parles...</p>