Le maillage des lectures - Mot-clé - Malcolm Lowry - CommentairesAutobiographie de mes lectures.2022-03-07T20:19:23+01:00Véronique Hallereauurn:md5:6551cf8fc6b6706899240dddee7d97eaDotclear2003 - William Golding, Sa Majesté des Mouches - Véronique Hallereauurn:md5:ba2430aea98d0d495d101a71916db4a02015-06-01T11:05:17+02:002015-06-01T10:05:17+02:00Véronique Hallereau<p>Si <em>Le maillage des lectures</em> pouvait lancer des tendances...! Je n'ai lu que deux romans de Robert Merle, récemment (je veux dire il y a moins de dix ans), <em>Malevil</em> donc et <em>La mort est mon métier</em>, mais je les ai beaucoup aimés tous les deux. C'est de la très bonne littérature populaire.</p>2003 - William Golding, Sa Majesté des Mouches - Ernesto PALSACAPAurn:md5:603c0cbd1c5664f9110dfe91e5d5fa262015-05-28T10:37:45+02:002015-05-30T23:25:36+02:00Ernesto PALSACAPA<p>Tiens, ça c'est amusant : je déplorais justement récemment avec un ami que Robert Merle fût complètement oublié de nos jours en dépit de son très grand talent et bim ! on en parle ici... un début de retour en grâce ?</p>2003 - William Golding, Sa Majesté des Mouches - monenfanceurn:md5:6a160a116c7f7288b5778423bdb1a8622015-05-28T09:47:35+02:002015-05-28T08:47:35+02:00monenfance<p>Bonne chute.</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Saint Chaffreurn:md5:a47cc03430a0ddc5c632af3af663917b2013-05-13T18:27:25+02:002013-05-13T18:41:37+02:00Saint Chaffre<p>Tout le contraire, sauf le souvenir également lumineux !</p>
<p>Zola, je l’ai dévoré à partir de la jeune quinzaine. J’ai commencé (je crois) par hasard par Thérèse Raquin et j’en tremble encore… Et puis à peu près tout (quoique, il est prolifique, le dreyfusard…) Evidemment, des souvenirs des passages forts de Nana, de l’Assommoir ou Germinal. Et puis, on se lasse ou plutôt on découvre d’autres auteurs, d’autres littératures et d’autres récits.</p>
<p>Assez vite, je tenais Zola pour un prolixe prosateur mais un peu léger et grandiloquent. Une lecture pour adolescent qu’il fallait savoir remiser pour d’autres plus coriaces et plus nourrissantes. Et aussi, les préoccupations et les marottes changent vite à ces âges : avec l’évolution de mes manuels scolaires, je trouvais Zola de plus en plus anodin et convenu : pas assez de philosophie là- dedans, pas assez d’érudition dans tout cela. Je ne le tenais donc plus en très grand respect quand vers la fin de mes études, j’ai ouvert, toujours par hasard, La faute de l'abbé Mouret.</p>
<p>Diable ! Je révisai vite mon jugement : bien que perclus de traditions catholiques jamais je n’ai reçu une telle leçon de catéchisme ! Au risque d’énerver les (bons) curés et les dames patronnesses qui nous ânonnaient une vie de Jésus sirupeuse, c’est Zola qui m’apprit les premiers rudiments de la religion de mon baptême et le respect de la religion ! J’en profitai également pour réviser mon jugement sur son art : un très bon dramaturge ! J’étais en Provence et mes études n’avaient plus rien de frais et d’enthousiasmant : il m’a ouvert ainsi une sorte de Paradou de l’esprit.</p>
<p>Je crois bien ne pas avoir fini le livre... sûrement pour porter le poids d’un péché envers lui…</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Véronique Hallereauurn:md5:df24e35af15e5d05e6e973b1200c11772013-05-11T16:07:00+02:002013-05-11T15:07:00+02:00Véronique Hallereau<p>J'essaierai à chaque fois de retrouver l'édition dans laquelle j'ai lu l'œuvre : ça fait partie du souvenir de la lecture. Il est des couvertures qui marquent.</p>1988 - Emile Zola, La faute de l'abbé Mouret - Ernesto PALSACAPAurn:md5:2c2ccf7932973602b0de8b897dac9e4f2013-05-06T17:11:41+02:002013-05-06T16:11:41+02:00Ernesto PALSACAPA<p>Commentaire bien superficiel de ma part : il est très plaisant de voir les couvertures des anciennes éditions en poche des bouquins dont tu parles...</p>