Le maillage des lectures - Mot-clé - Balzac - CommentairesAutobiographie de mes lectures.2022-03-07T20:19:23+01:00Véronique Hallereauurn:md5:6551cf8fc6b6706899240dddee7d97eaDotclear2021 - James Joyce, Ulysse - Véronique Hallereauurn:md5:e631e91e673663f5c4114de9823504012021-10-13T11:13:38+02:002021-10-13T10:16:29+02:00Véronique Hallereau<p>On peut sans doute le lire et l'apprécier sans guide, grâce aux encouragements d'un autre lecteur..</p>
<p>Aucune envie de lire <em>Finnegan's Wake</em> pour le coup réputé expérimental et illisible ! En revanche j'ai acheté <em>Gens de Dublin</em> dont une des nouvelles a été adaptée au cinéma par John Huston. Et avoir lu <em>Ulysse</em> me donne envie de me plonger dans Virginia Woolf - <em>Mrs Dalloway</em>. Pour comparer... </p>2021 - James Joyce, Ulysse - Ernesto Palsacapaurn:md5:414297f63390c54d3d4a0022771f51fa2021-10-12T10:11:13+02:002021-10-12T21:06:00+02:00Ernesto Palsacapa<p>Le problème de ce livre est qu'il suppose d'avoir la page Wikipédia avec le décryptage pour être accessible, ce que je trouve quand même embêtant...</p>
<p>En tout cas, te voilà prête pour t'attaquer à Finnegan's Wake !</p>1989 - Honoré de Balzac, Le père Goriot - Véronique Hallereauurn:md5:387c9a5231ad40121e4520f46a9b82a62015-09-14T21:11:52+02:002015-09-14T20:11:52+02:00Véronique Hallereau<p>Cela demanderait sans doute vérification, ce peut être l'idée qui invente le souvenir...</p>1989 - Honoré de Balzac, Le père Goriot - Ernesto PALSACAPAurn:md5:13240d1a5a603e5c985972a83add192f2015-09-14T10:31:25+02:002015-09-14T09:31:25+02:00Ernesto PALSACAPA<p>L'idée que l'on perd Rastignac à partir du moment où il réussit dans le monde est très belle... il me semble pourtant qu'on le voit beaucoup ensuite dans "La Maison Nucingen"... mais ça serait à vérifier : ma lecture de Balzac date un peu, maintenant.</p>1989 - Honoré de Balzac, Le père Goriot - mesambitionsurn:md5:cc8263c193fde46d287427412056e52b2015-09-11T11:39:13+02:002015-09-11T18:16:15+02:00mesambitions<p>"A nous deux !" est le cri que j'ai lancé en conquérant ma femme.</p>1989 - Honoré de Balzac, Le père Goriot - Véronique Hallereauurn:md5:ffd2b5803c96f4aac1d3c8747ecc86072015-09-10T17:51:32+02:002015-09-10T16:51:32+02:00Véronique Hallereau<p>Exactement !</p>1989 - Honoré de Balzac, Le père Goriot - Ph. B.urn:md5:b1cc1d268ab3afb88a7577e4fc3f4c3a2015-09-10T09:09:28+02:002015-09-10T12:50:17+02:00Ph. B.<p>Combien de provinciaux "montés à Paris" n'ont pas prononcé ces célèbres mots A nous deux ! ... j'y avais pensé j'avoue dans la même situation... mais sans Tour Eiffel... ils sont devenus clichés... d'où sans doute le sens du ridicule qui vous a pris au moment où vous les avez prononcés..!</p>1987 - Honoré de Balzac, Eugénie Grandet - Saint Chaffreurn:md5:44e14b0e497eadebd6ecc9c650361a6c2013-04-16T20:20:20+02:002013-04-16T19:20:20+02:00Saint Chaffre<p>Si l'on parle des lectures traumatisantes de notre adolescence, puis-je suggérer alors Une vie ou l’Education sentimentale.<br />
Le plus extraordinaire, c’est que je n’ai plus aucun souvenir de l’intrigue de ces romans. Juste celui très plaisant, mais aussi très puissant, de l’impression que leur lecture a faite sur moi alors. Impression devrait ici être prise dans son acception physique d’ailleurs.<br />
Pour l’anecdote, je suis redevable à Bourdieu d’avoir relu l’Education et de découvrir que dans mon souvenir brumeux j’attribuais mon souvenir impressionnant à Maupassant.</p>1987 - Honoré de Balzac, Eugénie Grandet - Véronique Hallereauurn:md5:b1c08c9d60a386578a826dc0c139f9d62013-04-15T21:34:01+02:002013-04-15T20:34:01+02:00Véronique Hallereau<p>Rien ne vaut la révélation qu'apporte la rencontre avec une oeuvre littéraire à l'âge de 15 ans - ce sera l'objet d'un prochain billet. Une rencontre de ce type est-elle possible dans un cadre - qu'il soit scolaire ou familial ? Sans doute, mais de manière fortuite, marginale, comme la découverte de PG Wodehouse sur une liste de lectures...<br />
J'ai aimé "Le cousin Pons" lu beaucoup plus tard, mais j'ai du mal à accepter les personnages bons jusqu'à l'aveuglement qui se font cuire et recuire à petit feu par un entourage cupide et sans scrupules. Et il y en a une belle brochette dans "Le cousin Pons" !</p>1987 - Honoré de Balzac, Eugénie Grandet - SaintChaffreurn:md5:2245395c42f24ac2f321b6f928f7890f2013-04-15T21:10:23+02:002013-04-15T20:10:23+02:00SaintChaffre<p>j'ai eu la chance de tomber sur un vieux poche du Cousin Pons. Rencontre fortuite qui à 15 ans, peut-être 14, change plus surement la vue sur la vie que toutes les leçons de chose : une sorte de double maître à penser que ces deux guignoles : Je me demande même si Schmucke n'est pas l'origine lointaine d'un wagnérisme maladif... On devrait condamner les sieurs Pons et Schmucke à la ciguë : corruption de ma jeunesse. J'en garde un souvenir ému, presque terrible : l'écho d'une naissance à soi-même.</p>1987 - Honoré de Balzac, Eugénie Grandet - Ernesto PALSACAPAurn:md5:ef5cd0ec3079d81db29ff483d3cdbbd92013-04-15T09:44:24+02:002013-04-15T08:44:24+02:00Ernesto PALSACAPA<p>C'est vrai que Balzac est vraiment inégal. Entre un roman aussi mal fichu, ennuyeux et lourdement didactique que "Le Médecin de campagne" et une œuvre aussi dure et profonde que "Le Cousin Pons", il y a un monde...</p>
<p>Quant aux professeurs de français, souvent, ce qu'il m'ont apporté de plus intéressant, c'étaient en effet les listes de lecture à aller faire soi-même dans son coin. La preuve : c'est comme ça que j'ai découvert P. G. Wodehouse (que l'on étudie pas en classe).</p>